« Comment optimiser la transmission de notre patrimoine immobilier ? »
M. et Mme G., respectivement âgés de 59 et 55 ans, sont mariés sous le régime de la séparation de biens, et ont eu ensemble 2 enfants, actuellement majeurs. Outre l’outil professionnel détenu au travers d’une SARL, appartenant à M. G, ils sont propriétaires (pour moitié chacun) de leur résidence principale et de deux appartements locatifs.
Ils disposent par ailleurs de plusieurs placements bancaires (comptes-titres, livrets bancaires, et épargne de précaution).
Les époux envisageaient d’initier la transmission de leur patrimoine immobilier à leurs enfants, tout en conservant la possibilité de percevoir les loyers des biens, tout en optimisant le coût fiscal de la transmission. Ils souhaitaient également faire en sorte de protéger le conjoint survivant en cas de décès de l’un d’eux.
C’est dans ce contexte qu’In Extenso Patrimoine est intervenue pour répondre à ces objectifs.
Parmi l’ensemble des moyens qui pouvaient être envisagés, nous avons rappelé aux époux G. les avantages et les inconvénients de chacun d’eux, afin de leur permettre de bâtir une stratégie patrimoniale sur mesure, à même de répondre à leurs objectifs et leurs souhaits.
Tout d’abord, nous avons exposé les avantages d’une donation-partage par rapport à une donation simple, en rappelant que celle-ci ne doit pas nécessairement être égalitaire. Il était donc possible de donner un bien locatif à chacun des enfants, même s’ils n’avaient pas la même valeur.
Ensuite, pour répondre à l’objectif de la perception des loyers, il pouvait être prévu une réserve d’usufruit au bénéfice des parents, de sorte que seule la nue-propriété des biens immobiliers serait transmise.
Par ailleurs, dans l’optique de protéger le conjoint survivant, il est possible de prévoir que cet usufruit soit transmis au survivant, de manière à ce qu’en cas de décès, celui-ci puisse continuer à percevoir l’intégralité des loyers.
Cette stratégie permettait de répondre aux préoccupations principales des époux, sans omettre d’optimiser le coût de la transmission de patrimoine. En effet, ne donnant que la nue-propriété, la valeur supportant les droits de donation est réduite en fonction de l’âge des parents. En l’espèce, seule la moitié de la valeur des biens immobiliers serait taxée, après application de l’abattement de 100 000 €, qui s’applique par parent et par enfant, et qui se renouvelle tous les 15 ans.
Naturellement, cette donation pouvait, le cas échéant être combinée avec d’autres moyens d’action.
Nous pouvons en citer deux principaux :
Sachant qu’il est possible de prévoir une clause bénéficiaire distincte par contrat d’assurance-vie, et que cette clause bénéficiaire est modifiable à tout moment par le souscripteur, en cas d’évolution ultérieure de ses souhaits.
Par cette stratégie, nous répondons aux principales préoccupations de M. et Mme G. concernant la transmission de leur patrimoine immobilier. En privilégiant la donation-partage, en ne donnant que la nue-propriété et en optimisant le coût de la transmission.
M. et Mme G. ont pu transmettre leur patrimoine, garder la perception des loyers, protéger le conjoint survivant, le tout sans omettre d’optimiser le coût de la transmission.
L’exonération est soumise au respect des conditions suivantes :
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